Il n’est jamais trop tard pour apprendre ! (vraiment?)
Vous savez, les trucs qu’on met sur la liste “À faire avant de mourir” ? Benh sur la mienne, tout au-dessus, il y a ça : apprendre l’italien. Et si, à 37 ans, on se décidait à ouvrir cette liste ? Et si, à 37 ans, on arrêtait les barrières mentales et les fausses excuses ?
Je suis une imposture
Non non, rassurez-vous, ce n’est pas de autoflagellation gratuite !
Prénom italien, nom de famille italien, enfance et adolescence dans une ville où il y a tellement d’Italiens qu’on y emploie quotidiennement des mots italiens “francisés” comme scarpe ou giiiiire, père italien, nonno, nonna, zia, zio, … j’avais toute la panoplie ! Mais une seule case n’était pas cochée : la connaissance de la langue italienne.
J’ai les hanches généreuses et le caractère vif de mes origines, autant aussi en avoir la langue ! 😂
Oser ouvrir sa bucketlist
Et puis, la liste s’allonge.
- Apprendre à jouer d’un instrument de musique
- Aller à New York
- Aller au Canada
- Recommencer à faire un sport à fond, vraiment
- … et bien d’autres choses que je vais garder dans mon jardin secret. 😊
Et puis, on repousse. Ce n’est jamais le bon moment, on se demande si en fin de compte c’est une bonne idée, on se dit qu’on n’a pas le temps, on se dit qu’on est fatigué·e, on se dit…. tellement de choses.
Et puis, la rencontre. La rencontre d’un homme qui est tombé amoureux de l’Italie des années avant de tomber amoureux de vous. Un homme qui a tellement aimé l’Italie qu’il a choisi d’y vivre quelques temps. Un homme qui parle italien. Un homme qui veut vous aider et vous lance un fameux challenge avec son cadeau : une livre pour apprendre l’italien.
Je ne peux plus reculer. Je ne veux plus reculer. Ma liste et moi, on est prêtes.
Et vous, quelle est votre relation avec votre liste ?