Internet, ma grand-mère et une carte postale

“Internet c’est le mal”.  Voilà le postulat de base de Mamy. Ça augure une discussion plutôt fun mais soit, j’aime les challenges et je décide d’essayer de comprendre le pourquoi du comment. “Parce que c’est ce qu’on nous a dit à notre assemblée” (ndlr : assemblée… religieuse).

Cette réponse creuse à en pleurer m’a rappelé Feu Papy. Mon Papy c’était le plus beau, le plus fort, le plus intelligent. Surmontant le coté malsain et l’impossibilité biologique de la chose, j’ose dire que si j’étais née 80 ans plus tôt, je l’aurais épousé, mon Papy.

Avec Papy, on avait de vrais débats sur le fond des choses. Notamment sur ses choix religieux un peu trop radicaux à mon goût. Et tenir une discussion à coups d’arguments et de contre arguments avec l’homme qui nous a appris à beurrer notre 1ère tartine ou nous a applaudi pour avoir récité fébrilement un poème de Maurice Carême sur scène habillée pour la 2ème fois de sa robe de petite communion, c’était émouvant et intellectuellement gratifiant.

Le vernis de certitudes de Mamy a commencé à craqueler quand j’ai subtilement glissé que le vilain internet, il me faisait bosser. C’est vrai, une chose qui permet à sa petite-fille de payer les factures à la fin du mois et qui met à manger dans son assiette (et celle de son arrière petit-fils, au passage), ça ne peut pas être complètement mauvais.

Je n’ai même pas dû m’abaisser à lui dire que son mouvement religieux, celui qui dit, écrit et fait dire à ses membres qu’il n’y a que du mal sur internet, est lui-même présent sur le réseau avec un magnifique site qui ferait pâlir les plus grosses multinationales. Pas besoin, donc, puisque je viens de porter le coup de grâce avec : MaCarte de bpost.

Nous sommes de mauvais petits-enfants. Les 5 heures de route aller-retour pour aller voir Mamy, on ne les fait pas chaque semaine, ni chaque mois, à peine chaque trimestre. Alors la dernière fois, rentrés de notre journée intergénérationnelle, je me connecte à bpost, je fais un montage de nos plus belles photos du jour et j’envoie cette carte postale personnalisée à Mamy. Je fais mouche. 2 jours plus tard  (48h et non 24h, est-ce parce que c’est expédié en Flandre ?), mamy nous téléphone en pleurant de joie. Cet internet gagne donc bien à être connu et mérite un peu de nuances dans les propos. Une victoire.

Photo prise dans la toilette d’un couple d’amis qui a servi de test pour MaCarte de bpost !

En bonne Android girl que je suis, j’ai aussi testé pour vous l’application Mobile Postcard de bpost. Prenez une photo avec votre smartphone, encodez un message d’accompagnement et une adresse de destinataire dans l’application et pour 2,35 euros, bpost s’occupe de l’imprimer et de l’envoyer pour vous. Le 1er envoi est gratuit. Je me suis donc adressé une carte postale pour tester le service. Elle est arrivée le lendemain et la qualité de la photo est plutôt bonne. Bon, si un photographe professionnel vous remet ce résultat, vous avez le droit de lui renvoyer la photo à la figure à la manière de Cat’s eyes. Mais pour ce qu’on en attend, bpost fait le job.

Je vous tiendrai au jus du prochain défi que je me lance avec Mamy : oui, on peut aller se coucher même s’il reste de la vaisselle sur l’évier et, mieux, on peut se permettre une grass’ mat’ le lendemain sans devoir s’auto-flageller jusqu’à ce que presque mort s’en suive pour expier sa faute.

Si je passe celui-là, je suis mûre pour Koh Lanta exclusivement à cloche-pied, avec une gastro et une main attachée dans le dos !

Crédits photo : moi-même
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Week-end de mariage

Cette reprise a été costaude. Au point que notre chef nous a convoqué pour nous dire “ce sera difficile, vous serez surchargés, mais je ne peux pas vous dire quand les renforts arriveront. Dans 3 mois, dans 6 mois, dans 1 an, personne ne sait. En attendant, entraidez-vous”.

L’entraide, mais en voilà une idée qu’elle est bonne ! Jusqu’ici entre collègues quand on avait 5 minutes, on se crevait les pneus, on mettait du laxatif dans le thermos de café ou on échangeait les étiquettes des dossiers pour semer le trouble chez leur propriétaire. Mais on va essayer l’entraide, ça a l’air plus intelligent. Nous voilà sauvés ! \o/

Bon, heureusement, il y a la vie privée, celle avec les keupins. Et la semaine passée chez les keupins, c’était mariage !

Du genre de celui pour lequel toute bonne femme invitée se doit de passer minimum 3/4 heures dans la salle de bain pour se préparer. J’ai entendu dire que si on ne le faisait pas, on brisait l’équilibre de l’univers. Faut pas rigoler avec ces choses-là.

Absorbée par ma reprise chaude-boulette, j’ai complètement zappé de prendre rendez-vous chez le coiffeur. Le matin même, je suis assez désespérée pour lancer une bouteille à la mer :

J’ai même fait assez pitié pour être retwittée. Encore merci à ces bons samaritains. Bon, ça n’a eu aucun effet mais ça fait chaud au cœur. J’ai donc ajouté 30 minutes de chignon homemade à mes 3/4 heures de ravalement de façade, manucure, épilation, habillage et bijoutage. C’est bien simple, on a manqué la moitié de la cérémonie.

MonHom et Choupet étaient prêts en 10 minutes, cherchez le déséquilibre. Il y a là une grosse inégalité homme-femme qui n’a jamais été abordée au Parlement. Y a pas une pétition qui circule ou un groupe Facebook ? Je m’en étonne.

En vrac en journée mariage :

  1. La Ferme des Sources est un endroit magnifique, à la limite du magique avec son petit jardin, son étang et son apéro servi dans la cour intérieure de la ferme en carré. Puis il y a un gîte de 2 chambres + salon avec canapé lit sur place. Il a été bien apprécié !
  2. Servir des bébés Chimay le soir venu, c’est traître. Assez petit pour te donner envie d’en prendre une deuxième et pas assez grand pour te dégoûter et te dire que t’en as assez bu, en fait.
  3. Proposer une baraque à frites le soir venu, je fais comme les mariés, je dis “oui” ! Il s’agissait de La Frite®, frites et sauces excellentes ! C’est bien simple, sur la soirée et le début de la nuit, j’en ai mangé 3 paquets. Quand on est en route depuis le matin et qu’on vit plein d’émotions, ça te requinque un chignon fané sur pieds.
  4. Étant aussi à la bourre sur l’achat de la robe, j’ai dû prendre celle en boutique, c’est-à-dire une taille 44. Des bonnes fées me l’ont transformée en taille 36 en 3 jours. Si vous cherchez des couturières ou voulez simplement entendre un accent italien chantant comme là-bas sur Namur, vous pouvez aller chez Couture Maugeri les yeux fermés.

Plus dramatique : je me suis rendue compte combien mes amies et moi avons vieilli. Non, on n’était pas fatiguées à 20h30. Non, on n’est pas restées les culs sur nos chaises en regardant la jeunesse se déhancher. Non, on n’a pas demandé au dj de baisser la musique. Pire : on avait toutes prévu la paire de chaussures de rechange pour être à l’aise !!! Pardonnez-moi, mais ça c’est un truc d’adultes. De vrais adultes, quoi.

Notez bien que j’avais vu des signes annonciateurs du vieillissement. Comme signer mon premier contrat d’employée, me marier, faire construire, devenir mère. Mais je ne m’attendais pas à ce que ça me saute au visage avec une paire de tongues. C’est traître une tongue, parfois.

Crédits photos : moi-même
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C’est la reprise

Ça y est, le 16 août, c’est la reprise. C’est aussi l’anniversaire de MonHom dont je tairai l’âge par respect, mais s’il pouvait m’épargner la midlife crisis, je lui en serai éternellement reconnaissante (oups). Bon anniversaire mon amour !

J’ai beaucoup appris pendant ces vacances. Par exemple, la cuisine. Non pas que je n’étais pas capable de faire cuire un œuf avant mais je me cantonnais au classique viande-légumes-patates.  Là j’ai élargi mes horizons et surtout découvert qu’on pouvait y prendre beaucoup de plaisir.

J’ai aussi appris à mes dépens qu’en dehors de tout réveil obligatoire à 6h00 en temps normal de travail, mon corps se réveille naturellement vers 8h30, voire 7h30 les jours où il est en forme. Je ne comprends pas, je ne l’ai pas élevé comme ça. Avant (lire : quand je n’avais pas de bébé), mon corps en vacances c’était “levé 10h, petit pipi, petit verre d’eau, re-dodo jusque midi”.

J’ai aussi découvert qu’un petit dej’ en tête-à-tête avec son petit mec de 2 ans, c’est un morceau de sucre qui aide la médecine à couler-eeeeeeer. Maintenant c’est retour du biberon pris à l’arrache par Choupet sur le siège arrière pendant que maman mange sa tartine en conduisant et en râlant sur les autres conducteurs qui ont dû avoir leur permis un jour où l’examinateur était lui-même bien atteint.

Comme chaque année, le bâtiment de mon bureau me refusera l’entrée. J’ai commencé à bosser un 2 août. Les badges sont valables un an après quoi il faut passer au service ad hoc pour les faire renouveler. Comme chaque année, j’y verrai un signe que décidément, je devrais prolonger mes congés jusque, disons, toujours.

Comme chaque année, j’aurai à peine mis un pied au bureau que je retrouverai avec plaisir mes collègues à qui j’ai plein de choses à raconter et qui m’en diront autant, que je me passionnerai pour mes dossiers au point d’être à la bourre pour aller chercher Choupet à la crèche, que mon cerveau bouillonnera de nouvelles idées à proposer à ma hiérarchie et que, par chance, je trouverai une oreille attentive pour les entendre.

Parce que, comme chaque année, je me rappellerai que j’aime mon job et que ça, c’est pas donné à tout le monde.

Bonne reprise !

Crédits photos : moi-même
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Pizzaiola 1er dan

Cette semaine il m’est arrivé une chose renversante : j’ai appris à faire la pizza.

Vous : t’es mignonne Mapomme, ça en est presque touchant, mais tu ne connais pas Marmiton, Laura in the kitchen ou Feu mamy Monica ?

Moi : attention,  je n’ai pas appris à faire la pizza, j’ai appris à faire LA pizza.

Non mais d’accord, c’est de ma faute, la précision était importante.

Je mange les pizzas de Veronica depuis que j’ai 2 ans et demi. À presque 30 ans, il était temps que je prenne mon courage à 2 mains et que je lui demande de me transmettre la recette secrète que sa famille se lègue de génération en génération.

Ne faisant pas partie de la famille, je m’attendais à une réponse polie, mais ferme, quoique cachant un léger malaise de devoir répondre par la négative à la gentille Mapomme qu’elle a vu s’épanouir pour passer de la petite Popomme timide et discrète à cette jeune femme magnifique, sûre d’elle, à la démarche digne d’une princesse, à la carrière étincelante et conciliant à merveille sa vie de mère et de femme active tout en gardant sa maison propre et bien rangée, son linge repassé, un brushing impeccable et des ongles manucurés avec soin.

… Hum…

Et bien que nenni, Vero a allumé le four, remonté ses manches (et les miennes) et m’a mis les mains dans la farine.

Elles avaient, certes, le goût de pizzas siciliennes excellentes, mais aussi celui des jours heureux passés dans le doux foyer de Vero et son mari quand leur fille me ramenait comme un chien perdu dont les parents travaillent beaucoup trop (oui, pour mon récit, les parents des chiens travaillent, c’est comme ça).

Sur la route du retour, MonHom au volant et Choupet à l’arrière, je l’écoutais essayer de chantonner sur l’EP d’Armistice en regardant la lune bien ronde dans un ciel mauve irréel. Je repensais à ma journée culinaire, remplie de madeleines de Proust et d’un coup de fil incroyablement heureux de ma sista’. Et j’ai pleuré. De joie. De bien-être.

Je pourrai transmettre la recette à Choupet, à la différence près que le goût lui rappellera la douceur de son foyer à lui, celui que MonHom et moi lui bâtissons depuis sa naissance, il y a maintenant 2 ans et un jour. Bon anniversaire mon fils !

Quoi le cholestérol ? T’as jamais entendu parler du régime méditerranéen ? Alors mange ta pizza et tais-toi !

 

Crédits photo : moi-même
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Paris en first class

Un jour comme un autre, dans ma maisonnette, alors que je m’adonne à mon activité préférée le ménage, la vaisselle, la lessive, la planification de notre menu hebdomadaire, le reprisage de chaussettes, le clic sur un lien trouvé sur Twitter, qui me donne envie de cliquer sur un autre lien, puis un autre, au point de ne plus savoir de quelle info je suis partie à la base, bref, mon téléphone sonne.

  • MonHom : mon amour, je t’emmène à Paris pour 2 jours
  • Moi : oh, mon amour, j’ai tellement de chance de t’avoir, tu es romantique, tu me surprends encore après tant d’années, tu…
  • MonHom : oui, c’est ça, donc on part dans 2 jours, tu peux nous trouver un hôtel chouette et pas cher ?
  • Moi : euh. Oui. Un hôtel pas cher. A Paris. En plein mois de juillet. Pour dans 2 jours. Challenge accepted !
  • MonHom : et on va en 1ère classe dans le Thalys, hein.
  • Moi : oh, mon amour, j’ai tellement de chance de t’avoir, tu es roman…
  • MonHom : non mais avec tous les trajets que je fais pour le boulot, je cumule des miles sur ma Thalys Card et donc on ne paiera pas ton billet. C’est génial !
  • Moi : …tique. Dis-moi, quand même, la 1ère classe, on va arrêter de se la péter. La 2ème m’ira très bien.
  • MonHom : y aura le wifi gratuit en 1ère.
  • Moi : mmmm.
  • MonHom : et y aura un petit dej’.
  • Moi : donc ouais, 1ère. On va quand même pas se mélanger à la populasse de la 2ème hein !

Petit déjeuner du ThalysIl avait raison MonHom, le petit dej’ des businessmen dans le Thalys, il claque.

Le temps de se connecter au wifi du train (inscription, validation, toussa), répondre à 2 ou 3 mails, manger en amoureux notre fromage et notre jambon, pif paf pouf, on était à Paris !

Sur les 2 jours, MonHom en passe 1 en réunion au bureau parisien donc je dois m’occuper. En bonne femme qui se respecte, je décide que j’irai au Printemps et aux Galeries Lafayette. Et en bonne femme que je suis, je pla-ni-fie.

Donc direction le site web de la RATP qui s’avère être une catastrophe pour faire une simple recherche d’itinéraire. Un temps de validation incroyablement long et des noms de stations “inconnus” s’ils ne sont pas orthographiés à l’empattement près (et n’attendez pas que le site vous fasse des propositions de noms approchants, vous risqueriez d’attendre longtemps). Je me rends alors compte que je suis #So2005 à faire une recherche préalable sur le web, un peu comme imprimer un itinéraire Mappy avant de prendre le volant.

Me voilà donc à fouiller l’Android Market. Découragée par les commentaires lus par-ci par-là par-delà, je renonce à télécharger l’application officielle de la RATP tant lite que premium.

Après un benchmarking poussé (oui, j’étais en congé, je trouve toujours le temps pour les actions inutiles quand je suis en congé. Oui, bon, toute l’année en fait), je jette mon dévolu sur Metroide lite. Je compte uniquement me déplacer en métro donc ça me convient parfaitement. Une fois téléchargée, plus besoin de connection data. Parfait quand on n’a pas les moyens d’enclencher le roaming ! Elle a rempli son rôle pour mon utilisation.

En vrac à Paris :

  1. J’ai bien entendu relevé le challenge de l’hôtel chouette et pas (trop) cher en last minute. Je vous le conseille, en deal internet si vous pouvez : Best western Star Champs Élysées
  2. Olivier de Benoist est très drôle et surprenant dans la 1ère partie de son spectacle, assez irrégulier ensuite mais on se muscle les abdos et on découvre la charmante petite salle de l’Européen et sa vendeuse de billets très sympathique !
  3. L’expo “Brassens ou la liberté” est à voir d’urgence à la Cité de la Musique. D’abord parce que même quand on pense tout savoir de Brassens, on en apprend encore, ensuite parce que la mise en scène/en espace est incroyablement belle et inédite et finalement parce que ça se termine déjà le 21 août.

Pour le retour, on a voyagé en 2ème classe, MonHom m’ayant assuré que le repas du soir n’en valait pas la dépense. A peine assis dans le train, une voix annonce que “en raison de problèmes techniques, internet ne sera pas disponible durant ce voyage”. Ça leur fera les pieds, à ces bourgeois de la first class.

 

Crédits photo : moi-même
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Les années 70, c’est terminé

En bonne famille baroudeuse, nous sommes régulièrement confrontés à un problème de taille quand MonHom veut changer Choupet : son retour dépité, me demandant d’y aller moi-même puisque le plan à langer se trouve…dans les toilettes des femmes ! Bravo les gars, on est quand même en 2011.

Je ne suis personnellement pas pour la parité obligatoire en politique ou dans les conseils d’administration. Je trouve même ça contre-productif puisque ces postes doivent être occupés par des gens sélectionnés sur base de leurs compétences et non sur base de ce qu’ils ont entre les jambes. Mais bon, il y avait lacune, il fallait bien une loi, imparfaite ou pas. Mais pour les soins des enfants, il me semble qu’on n’a pas trop besoin de légiférer puisque le partage se fait naturellement dans les couples actuels en âge de procréer.

Alors pourquoi ? Pourquoi cette tendance machiste et rétrograde des architectes et/ou propriétaires de bâtiments de lieux publics à taper les plans à langer chez les femmes ? Là, ça m’échappe.

Bien sûr, il y a des plans B (et C et D) :

  • le Choupet est changé par terre, à l’arrache, dans les toilettes des hommes. Effet non-hygiénique garanti.
  • le Choupet est changé dans les toilettes des femmes… par papa. Effet pervers garanti (ou effet “oh, vous êtes adorable de vous occuper de votre fils comme ça. Vous faites quoi ce soir monsieur, je vous emmène dîner ?”. J’aime pas).
  • le Choupet est changé dehors. Effet bouboules gelées et intimité bafouée assuré.

Rien d’idéal.

Alors messieurs (ça ne peut être que des hommes, je vois que ça), quand vous déciderez de construire ou de rénover les toilettes de votre bâtiment, pensez modernité (c’te folie !), mettez des plans à langer des DEUX cotés (ou faites comme le Vieux Moulin à Ecaussinnes, en mode Ally McBeal avec ses toilettes unisexes).

Dans les années 70, les femmes ont brûlé leurs soutien-gorges pour leur libération, ne nous obligez pas à recommencer (bande de coquins !).

 

Source image : topito.com
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